Toutes les ressources vie religieuse 180 résultats (2ms)

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 111 , 1730-1775  

Exécution par les héritiers de feu Jean-François Bosquillon des volontés testamentaires de ce dernier en ce qui regarde le legs qu'il a fait en faveur des pauvres veuves d'Armentières. Différend entre le Magistrat d'Armentières, joints à lui les ministres des pauvres de cette ville, d'une part, Marie-Joseph Hennion, veuve de Pierre-François Delebecque, cousin de Jean-François Bosquillon, d'autre part, touchant l'interprétation des volontés dudit Jean Bosquillon lequel, en octobre 1722, avait fait don de trois maisons à lui appartenant pour servir de demeure à trois pauvres veuves de la ville d'Armentières, la préférence étant toujours donnée à celles qui auraient parenté avec lui.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 56 , 1722-1783  

Comptes des ministres de la confrérie du Saint-Sacrement érigée en l'église paroissiale d'Armentières : " Au nommé Faisan, bailly de l'eau pour une amende à laquelle a été condamnée ladite confrairie dans la visite faite de la rivière en l'année 1727, 3 l. " 1728-1735 ; " Reçu de M. Van Oye, curé dudit Armentières, provenant d'une personne pieuse, la somme de 25 l. " 1748-1755 ; Recette totale du compte des années 1759 à 1764 : 1878 l. 7 d. ; dépense : 1565 l. 2 s. ; " A Jean-Joseph Ortille, pour avoir fait et posé le bancq dudit Sacrement dans le choeur de l'église, 112 l. " 1764-1771 ; Recette totale du compte des années 1780 à 1783 : 1053 l. 14 s. 6 d. ; dépense : 1120 l. 15 s. 6 d.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 24 , 1598-1603  

Comptes de l'église paroissiale d'Armentières : « A Me Henry Schnouck, ouvrier d'orghes, demourant à Lille, pour avoir racoustré les orghes de l'église et y adjousté aucuns registres, lui a esté payé IIIIXXX l. » 1598 ; « A Me Philippe Heuvin, fondeur de cloches, pour avoir, par marchié faict avecq luy, fondu la cloche appellée Franchoise, laquelle estoit paravant cassée, et pour avoir livré, en augmentation d'icelle, LXIII livres de métal, IIIcV l. » ; « à Adrien Rickaert, orphèvre, pour avoir faict un calice d'argent, LVI l. » ; « à Jean Beurgrave, pour avoir nettoié le tombeau de M. de Fiennes et Madame sa femme, et rappoinctié les images allentour, LX s. » 1600 ; « A maistre Pierre de Heuchin, prestre, naguères maistre du chant, pour avoir vendu et livré ung livre en musicque à ladite église pour y chanter, VIII l. » 1602.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 126 , 1612-1670  

Adh2ritement conféré à la table des pauvres d'Armentières de deux cents et demi de pré donné par Cassisoine Wiccart, veuve de Jacques Guiéret, à ladite table, 1612. Vente au profit de la table des pauvres d'Armentières : par Philippe Despaigne, d'une maison située hors l'enclos de la ville, en la rue du Crachet, 1618 ; par Gilles Blondel, d'une choque de maisons et héritages situés à Armentières, 1669 ; par la veuve de Gilles Cuvelier, d'une maison à front de la rue conduisant du cimetière vers la rue de la Belle-Croix, 1669 ; par Etienne Marle, d'une maison située en la rue de la Belle-Croix, 1670 ; par Georges Barbaige et Marie Boidin, sa femme, d'une maison située "en la rue la Court de Lassus", 1670 ; par Guillaume Pol, de cinq cents de pré, 1670.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 133 , 1656-1721  

Transport de rentes au profit de la tables des pauvres d'Armentières : par Jean Groudet (1656), par Thomas Perche (1658), par Adrien Legrand (1670), par Nicolas Van Decle (1674), par Pierre etMarie-Catherine Breton (1675), par Jean Lesecq (1683) et par Jacques Mallet (1721). Titres de rentes appartenant à la tables des pauvres d'Armentières, 1670.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 137 , 1725-1757  

Les ministres des pauvres d'Armentières proposent au Magistrat de contraindre les jeunes gens de la ville à faire, à tour de rôle, les pourchats (quêtes) dans l'église pour les pauvres, le lundi de chaque semaine, attendu que lesdits ministres, malgré les démarches réitérées, ne peuvent décider personne à faire ces quêtes, 1725. Elections d'administrateurs des biens des pauvres d'Armentières : protestation du sieur De Hayon, lieutenant du bailli, contre une élection faite indûment par les mayeur et échevins ; avis du sieur Goudemez, duquel il résulte que l'élection des ministres des pauvres soit se faire par le lieutenant du bailli et le Magistrat conjointement, 1749.

Clergé régulier : capucins.

GG 62 , 1641-1738  

Lettres des définiteurs des Capucins de la province wallonne à Valenciennes au Magistrat d'Armentières, pour le remercier de la confiance qu'il montre dans l'ordre de Capucins en demandant qu'ils puissent confesser dans l'église paroissiale ; ils accèdent à ce désir sous la réserve toutefois que cela ait lieu avec l'assentiment de Me Géry Lespagnol, pasteur d'Armentières. Alphonse de Bauffremez, seigneur du Roseau, atteste avoir été présent quand don Alonso Ladron de Genaxa, alfer réformé au régiment de don Gaspard de Bonifacio, blessé mortellement d'un coup de mousquet devant la ville d'Armentières le 28 mai 1647, dit à un certain Père Joseph qu'il donnait à l'église toutes les reliques qui étaient en dépôt au couvent des Capucins de Tournai. "Copie de ce que le R.P. Casimir, prédicateur capucin à Armentières, a envoyé en l'an 1681". C'est la relation d'un miracle arrivé en faveur de Jacques Gremonpont, d'Armentières, atteint aux deux jambes d'un feu Saint-Antoine si intense que les médecins avaient jugé nécessaire de lui faire l'amputation. Ledit Jacques avait été guéri miraculeusement par l'intercession de saint Joseph. Le miracle a été reconnu par l'évêque d'Arras Paul Boudot, et attesté au Père Capucin auteur de la relation par le jeune homme lui-même, en 1646, lorsque ledit Père demeurait à Armentières. Permission accordée par François de Baglion de la Salle, évêque d'Arras, aux Pères Capucins d'Armentières, de célébrer la fête de saints de leur ordre désignés par ledit évêque et autorisation de l'abbé de Warneton et à un de ses religieux d'officier et de prêcher à cette occasion dans l'église desdits Pères.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 51 , 1548-1557  

Comptes des ministres de la confrérie du Saint-Sacrement érigée en l'église paroissiale d'Armentières : " A Jean Provost, paintre demeurant à Lille, pour livraison de XXIXe benniérettes distribuées aux charitables comme il est accoustumé, à XX s. Le cent, XXIX l. " 1548-1549 ; " Recette : des laix de Loyse de Douze femme de Pierre Desruelles, laquelle a donné ung chapperon vendu à cry et renchière à Martine Desruelles, XLVI s. " 1550-1551 ; " A Jehan Thibreghien, orphebvre, demeurant à Lille, pour avoir faict et livré une boiste d'argent servant à mettre l'hostie du Sainct-Sacrement dedens, IX l. " 1552-1553 ; " A Noël Plouvier, caudrelier, pour le chambgement de une petite clocquette pour sonner quand on porte le Saint-Sacrement aux malades, à cause que la viése estoit de mauvais son, VIII s. " 1556-1557.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 124 , 1623-1756  

Transport de rentes au profit de la table des pauvres d'Armentières : pour effectuer la donation faite par Jean Le Noble à charge d'un obit anniversaire pendant cinquante ans, 1623 ; pour effectuer les donations faites par Georges Henniart, 1627 ; par Jeanne Boidin, 1649 ; par Piat Grouzet et Marguerite Morel, 1658 ; par Antoine Gaverel, 1658. Don d'une maison de la rue des Espagnars à Armentières, fait par Marguerite Deleforterie, "ancienne fille non mariée" à la table et charité des pauvres de cette ville, à charge "de la recevoir à l'hospital des pauvres chartriers pour y estre nourie, saine et malade, aussy long temps qu'il plaira au bon Dieu de la laisser dans ce monde, aux despens dudit hospital, sans pouvoir la renvoïer soubs quelque prétexte ou cause que ce soit ou puisse estre", 1691. Abandon par Jean Six et Antoinette Laignel aux pauvres d'Armentières, du droit que lesdits époux pourraient avoir dans une maison située à front de la rue Notre-Dame, que Me Jacques Deleboe a donnée auxdits pauvres, 1718 ; par Antoine Candelle aux mêmes pauvres, de la somme dont François De Lestrée, maître charpentier, peut lui être redevable.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 48 , 1691-1774  

Comptes des ministres de la table et charité des trépassés et de la confrérie de Notre-Dame de Miséricorde en l'église paroissiale d'Armentières : " A maistre Philippes Pouchain, prestre et horiste de la paroissiale, pour ses droix d'avoir assisté aux messes votives, processions et autres offices qui se font à la charge d'icelle chapelle, III XX VI l. " 1691-1704. Recette totale des années 1704-1706 : 2622 l. 15 s. 2 d. ; dépense : 2592 l. 15 s. 2 d. " Aux nommés Ghins et Leroux, doreurs, pour avoir doré le tabernacle de ladite chapelle et autres embellissements de l'autel, 432 l. 6 s. ; payé à un peintre pour avoir lavé et racommodé le tableau de l'autel, 24 l. ; à Alexandre Dilly et Batail, sculteur, pour un Christ et autres livrances de leur stil, 73 l. 4 s. " 1706-1739. Recette totale des années 1757-1764 : 5945 l. 10 s. ; dépense : 5543 l. 5 d. "Le 16 novembre 1765 payé au sieur Bayart, greffier, pour recherche qu'il a fait des anciens titres des fondations de ladite chapelle suivant notices, 4 l. 16 s. " 1764-1774.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 127 , 1671-1699  

Vente au profit de la table des pauvres d'Armentières : par les exécuteurs testamentaires de François Cousin, d'une maison en la rue de la Belle-Croix, 1671 ; par Nicolas Barbry, d'une choque de maison située à front de la rue d'Erquinghem, 1674 ; par la veuve de François de Vos, de quinze cents de pré, 1674 ; par Antoine Buisine, de deux cents de pré, 1677 ; par Paul Coisne, de quatre cents de terre à Houplines, 1679 ; par Jacques-François Leclercq, de trois cents et demi de pré, 1679 ; par Louis et Floris Brame, de deux pièces de terre à Armentières, 1687 ; par Pierre-François Walbroucq et Marie Préal, sa femme, d'une maison située en ladite ville, 1699.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 105 , 1648-1753  

Acte par lequel Hélène Hullin, fille de Jacques, veuve de Jacques Boidin, affecte une somme de 10 000 livres à la fondation d'une maison pour les pauvres filles orphelines d'Armentières, 21 juillet 1648. Transport d'une rente de 9 liv. 7 s. 5 d., et d'une autre rente de 50 liv. Par la veuve de Jean Liénard au profit de la maison des pauvres filles orphelines d'Armentières, fondée par Hélène Hullin. Signification au sieur Vandrevinckre, administrateur de la maison des pauvres filles orphelines d'Armentières, de l'ordre donné par les échevins de cesser les travaux de construction d'une maison. Pièces concernant la reddition des comptes du sieur de Caigny, administrateur des biens de la fondation des pauvres orphelines d'Armentières. Liste des pauvres filles qui demeuraient en 1713 dans la maison des orphelins d'Armentières. Quittances et extraits de rôles relatifs aux droits d'amortissement payés par les administrateurs de la fondation des pauvres filles orphelines d'Armentières ; attestation touchant une maison située rue des Tanneurs à Lille, appartenant à ladite fondation.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 121 , 1554-1569  

Testament de Michel Liennart, marchand demeurant à Armentières, par lequel il lègue deux lettres de rente à la table et charité des pauvres de cette ville, "trois bonnets, assavoir les deux rouges et l'autre noir" à l'église paroissiale ; en outre, il donne "aux confraries du Sainct-Sacrement, de Nostre-Dame de Sept-Dolleurs, et de Sainte-Barbe, à chacun dix gros parisis en l'acquict de ses confraries" 1554. Constitution au profit de la table des pauvres de la ville d'Armentières par Jean Denys, de la moitié étant donnée aux pauvres de Steenwerck, 1554. Création d'une rente, laquelle sera ffacetée à la fondation d'un obit conformément aux intentions testamentaires de Jean Bonnet, 1554. Confirmation par Jeanne Blondel, veuve d'Olivier Denis, du don d'une lettre de rente fait par sondit mari à la table des pauvres d'Armentières, 1555. Don par Guillaume de le Vigne aux tables des pauvres d'Erquinghem-sur-la-Lys et d'Armentières, de rentes assignées sur une maison rue de Glatigny, 1559. Transport d'une rente au profit de la table des pauvres d'Armentières en exécution du testament de Michel Boidin, 1569. Don par Michel Ghuémart, bourgeois et marchand d'Armentières, aux pauvres de cette ville, d'une lettre de rente de 7 livres 10 sols "pour la bonne affection qu'il a auxdis povres et affin de subvenir à leur nécessité " 1569.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 98 , 1664-1687  

Ventes faites à l'hôpital de Sainte-Marie dit des Bleuettes à Armentières : par Gillette Longuespée, veuve de Pierre Flaiel, Henri Leplus et Jean Houdain, de maisons situées à front de la place, hors du grand pont de Flandre ; par Evrard Durnay, jadis sergent-major au service de sa majesté, père et tuteur d'André Durnay, qu'il a retenu de Marguerite Le Gillon, fille du seigneur Du Poncheau, d'une maison sise rue d'Arras, de prés joignant le rempart et de terres situées à front du grand chemin menant du toucquet des Mauvaises-Femmes à la Boutillerie ; par Péronne Beuvet, de deux cents de pré en la paroisse de Nieppe ; par Jean Houdain, de quatre cents de pré sis à Armentières qu'il a achetés d'Adrien-François Dantin, écuyer, seigneur d'Agincourt, agissant pour sa mère dame Marie-Anne de Morin.

Clergé régulier : capucins.

GG 60 , 1677-1726  

Don aux Capucins d'Armentières par Anne Cappel, "ancienne fille non mariée", d'une maison située rue des Bourgeois en ladite ville, à charge de deux cents messes. Requête présentée à Lamoral d'Egmont, prince de Gavre, seigneur d'Armentières, par les Capucins de cette ville, à l'effetd'obtenir la remise de rentes qu'ils doivent pour les maison et jardin qu'ils ont incorporés dans leur couvent. Déclaration par l'administrateur des fondations pieuses faites par Pierre Busquet que la muraille de séparation qui existe entre le couvent des Capucins et une maison ayant appartenu audit Pierre appartient auxdits Pères. Avis du Magistrat d'Armentières touchant la construction d'une cave dans le couvent des Capucins d'Armentières. Supplique des Capucins pour obtenir la permission de bâtir un mur à front à rue. Acquisition par les Pères Capucins d'Armentières d'une choque de maisons sises en cette ville.